Parmi les spectacles de danse que nous avons pu voir, nous avons choisi de vous montrer quelques extraits de chorégraphies qui ont retenu notre attention.
La chorégraphe Maria Clara Villa Lobos revient à son sujet de prédilection : la société de consommation et ses dérives. Elle revisite Le sacre du printemps de Nijinsky avec l’humour et le goût de la provocation qui la caractérise.
«Elle a réussi là quelque chose de fascinant, à la fois politique, méchamment drôle et très beau. Et le tout sans un mot.» Jean Luc Porquet – Le Canard Enchainé
Avec Dorothy, le chorégraphe Anthony Egéa s’aventure pour la première fois dans le monde des enfants et replonge dans ses souvenirs du Magicien d’Oz, grand classique de la littérature enfantine. Il a choisi de confier les clés de ce conte à la danseuse Vanessa Petit qui, par son hip-hop virtuose, plonge à corps perdu dans l’histoire pour s’emparer de chacun des personnages.
Deux êtres fragiles explorent la vie depuis son origine.Yourik Golovine et Loula Plotnikova parcourent ce chemin dans une danse animale en perpétuelle recherche d’équilibre, seul ou à deux .
Sophie Carlin retrace les étapes de la vie dans un jeu avec la matière plastique . Tour à tour enveloppe charnelle ou robe de mariée, elle devient étrangement organique .
Sara Martinet nous propose un duel entre corps et objet, jeu où matière, os et barreaux se croisent dans une danse à la fois poétique et burlesque.