En juin 2013 je saisissais avec bonheur ces images à la fois fugitives et intemporelles.
Un an plus tard, les projecteurs se sont éteints et les micocouliers se font l’écho d’une juste révolte.
Puisse ce douloureux sacrifice servir la cause des intermittents et des précaires et éclairer notre avenir.
En hommage à Jean Varella et à tous ceux qui ont subi ou choisi cette cruelle mutilation:
ne pas être là, le soir du rendez vous avec le public.
Je me souviens….
Micha Cotte