La chorégraphe Maria Clara Villa Lobos revient à son sujet de prédilection : la société de consommation et ses dérives. Elle revisite Le sacre du printemps de Nijinsky avec l’humour et le goût de la provocation qui la caractérise.
«Elle a réussi là quelque chose de fascinant, à la fois politique, méchamment drôle et très beau. Et le tout sans un mot.» Jean Luc Porquet – Le Canard Enchainé